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Liste 1 Les arbres de la flore spontanée sur le sentier côtier
liste 2 les arbustes et les vivaces de la flore spontanée sur les sentiers côtiers
Les plantes de terre de bruyère
Les plantes de terre de bruyère (autoformatif)
Les plantes de terre de bruyère (autoformatif 1)
les plantes de terre de buyère (autoformatif 2)
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CELASTRACEAE (autoformatif) Clique ici pour accéder au diaporama. Bon courage
C’est un morceau de bois qui ne paye pas de mine, coincé au creux d’un caillou charbonneux découvert, il y a une quarantaine d’années, dans la carrière de Châteaupanne, à Montjean-sur-Loire (Maine-et-Loire). Et pourtant ce bois mort, très mort, est d’une valeur inestimable : ce serait le plus vieux morceau de bois existant au monde.
C’est ce qu’a affirmé au quotidien Ouest-France une chercheuse angevine, Christine Strullu-Derrien. Selon elle, le bois en question provient d’un tout petit arbuste, une plante de 30 cm de haut, et est âgé de 407 millions d’années, record battu. Une plante similaire avait été découverte au Canada, mais ne datait « que » de 397 millions d’années.
Pas de racines
Ce sont des recherches entreprises entre 2006 et 2010 qui ont permis de découvrir la présence de ces fragments de bois fossilisés de deux millimètres. Mais la plante en question « n’a pas pu pousser à Montjean, elle a pu être apportée là par l’eau », explique la chercheuse. « Aucune plante de cet âge n’a cette structure », selon elle.
D’autres recherches vont être entreprises pour tenter de comprendre comment la plante se nourrissait à l’époque. En ces temps-là, où les continents n’étaient pas encore tout à fait formés, les plantes n’avaient pas de racines ni de systèmes élaborés pour faire circuler la sève, mais avaient déjà des sortes de tiges et récupéraient l’eau à la manière des mousses.
le plus vieux morceau de bois du monde France soir, 21 sept 2011
Découverte extraordinaire en Anjou, le plus vieux bois OF
Le boson de Higgs est une particule qui n’a jamais été observée avec certitude. Mais elle reste à ce jour la seule à permettre de rendre valide le Modèle standard, cette théorie qui décrit toutes les particules élémentaires connues et leurs interactions entre elles.
Mardi, les chercheurs du CERN ont donné une conférence très attendue par la presse et le monde scientifique : celle-ci faisait état des derniers résultats obtenus grâce au Grand collisionneur de hadrons (LHC) au sujet de l’existence du boson de Higgs. Mais pourquoi cet élément reste t-il si mystérieux et pourquoi est-il aussi important d’en prouver l’existence ? Réponse…
Le boson de Higgs est une particule qui porte le nom de Peter Higgs, un physicien anglais parmi les premiers à avoir proposé, en 1964, le mécanisme qui porte son nom et qui comble une des lacunes du Modèle standard. Ce Modèle standard est une théorie qui décrit toutes les particules élémentaires connues et la façon dont elles interagissent les unes avec les autres. Pourtant, il ne permet pas d’expliquer la raison pour laquelle la plupart des particules élémentaires ont une masse.
Or, cette question est fondamentale, car si la masse n’existait pas, rien n’existerait, pas le moindre atome, pas la moindre particule. Le boson de Higgs est la clef de ce mystère. En effet, Peter Higgs émet l’idée que les particules ont une masse qu’elles acquièrent en interagissant avec un champ magnétique présent partout dans l’espace. En interagissant avec ces champs dits “de Higgs”, les particules ressortent avec une masse (un peu comme en plongeant une éponge dans de l’eau). Ce mécanisme suppose l’existence du boson de Higgs, l’élément fondamental du champ du même nom, au même titre que le photon est l’élément fondamental de la lumière.
Deux détecteurs pour dénicher une particule
Paradoxalement, le Modèle standard ne prédit pas la masse du boson de Higgs. Les accélérateurs de particules comme le LHC sont donc construits pour trouver l’empreinte unique laissée par le boson. Pour cela, des détecteurs sont placés le long de l’accélérateur, accélérateur dans lequel ont lieu des collisions entre particules susceptibles de faire surgir le fameux boson de Higgs.
Comme en science il faut toujours confirmer un résultat, deux détecteurs concurrents ont été construits le long du LHC : Atlas et CMS. Ils cherchent la même chose, mais avec des méthodes différentes. En 2011, les détecteurs ont ainsi analysé quelque 400.000 milliards de collisions proton-proton ! A l’heure actuelle, les deux équipes ont comparé leurs résultats et réduit l’intervalle dans lequel pourrait se trouver le fameux boson, rapporte la Tribune de Genève. La solution se rapproche mais elle est encore loin d’être atteinte. La recherche continue et la question de savoir pourquoi les masses sont ce qu’elles sont, se posera donc encore…
Kepler- 22b
Lundi, la NASA a confirmé la découverte d’une nouvelle planète habitable située hors de notre système solaire mais ressemblant à la Terre. Baptisée Kepler-22b, la planète est la plus petite jamais trouvée à orbiter au milieu d’une zone habitable entourant une étoile semblable à notre Soleil.
ailleurs, une autre terre ? (infos de 20 h TF1)
C’est une planète de plus sur la liste des planètes habitables. Lundi, la NASA a annoncé que la sonde américaine Kepler qui a déjà découvert plus de 1.000 nouvelles planètes venait tout juste d’identifier sa toute première habitable. Une trouvaille qui a tout de même nécessité près de trois observations du passage du corps pour être confirmée. Baptisée Kepler-22b, la planète se trouve hors de notre système solaire à près de 600 années-lumière mais les scientifiques ignorent tout de sa composition et ne peuvent pour l’instant dire si elle constituée de roche, de gaz ou de liquide.
L’espoir vient en fait de la localisation de la nouvelle planète. En effet, Kepler-22b orbite autour d’une étoile qui ressemble fortement à notre Soleil et de laquelle elle se trouve à bonne distance pour une éventuelle présence d’eau à l’état liquide. “Nous sommes certains qu’elle se trouve dans une zone habitable“, a ainsi assuré à des journalistes Bill Borucki, expert de la NASA cité par l’AFP. De plus, les scientifiques supposent que son atmosphère et la température à sa surface sont également propices à une éventuelle apparition de la vie. “Si elle dispose d’une surface, la température doit y être agréable“, a souligné Bill Borucki. Selon la NASA, la température près de la surface de l’exoplanète serait ainsi de 22 degrés Celsius.
Orbitant autour de son étoile en 290 jours, Kepler-22b serait en revanche un peu plus grande que la Terre avec un rayon 2,4 fois supérieur. “C’est une borne majeure sur la route pour trouver une jumelle de la Terre“, a commenté Douglas Hudgins, scientifique du programme Kepler de la NASA. Cité par un communiqué de l’agence, il a ajouté : “les résultats de Kepler continuent de démontrer l’importance des missions scientifiques de la NASA, qui visent à répondre à certaines des plus grandes questions sur notre place dans l’univers“.
Un classement des planètes candidates
Lancée en 2009, la sonde Kepler munie d’un puissant télescope a pour mission de rechercher des planètes soeurs de la Terre susceptibles d’abriter la vie, en observant plus de 100.000 étoiles semblables au Soleil. Début 2010, la NASA avait ainsi annoncé que la sonde avait découvert ses cinq premières exoplanètes, mais toutes étaient trop chaudes pour abriter la vie.
Le jour même de la confirmation de l’existence de Kepler-22b, des astronomes de l’université de Porto Rico ont d’ailleurs diffusé sur internet le classement, en fonction de leur habitabilité, de 47 des près de 700 exoplanètes découvertes depuis 1995 par différentes équipes d’astronomes. Or, si la nouvelle planète n’y figure pas encore, HD 85512b et Gliese 581d y occupent les premières places. Pour en savoir plus, rendez-vous sur le “catalogue des planètes habitables“.
Vues générales sur la vasière 2011
La faune et la flore du schorre et de la slikke
Les plantes trouvées
Les fossiles de plantes que l’on trouve dans les différentes couches géologiques lors des éboulements, des travaux de terrassement… permettent de reconstituer la flore de la planète il y a plusieurs millions d’années. Ci dessous un site avec de jolis fossiles :
Un arbre fruitier est un arbre cultivé spécialement pour ses fruits comestibles. Un fruit est, pour les botanistes, une structure formée par l’ovaire mûr issu d’une fleur, contenant une ou plusieurs graines, mais seuls comptent ici les fruits ayant un intérêt alimentaire et économique pour l’homme.
Fruit est entendu au sens large puisque dans certains cas c’est seulement la graine qui est récoltée, par exemple dans le cas du caféier ou du châtaignier. Cependant tous les fruits consommés par l’homme ne sont pas produits par des arbres : certains sont produits par des plantes herbacées, soit plantes potagères ou maraîchères telles melon, pastèque et fraisier, sans oublier le bananier qui est une plante herbacée géante, ou l’ananas, par des arbustes et arbrisseaux, tels le framboisier, le groseillier ou la myrtille, également cultivés dans les jardins, le kiwi ou la vigne.
Par ailleurs, les arbres fruitiers peuvent être intéressants pour d’autres aspects que les fruits : pour leur bois (on parle parfois de fruitiers forestiers, pour leurs propriétés médicinales, ou comme plantes ornementales par exemple).
Qui n’a pas rêvé d’aller se perdre dans les forêts canadiennes à l’automne ? Le flamboiement des érablières qui embrasent le ciel, l’odeur de la terre, la promesse de la récolte à venir du sirop ambré d’érable.. Hum !
En attendant cliquez sur le lien suivant pour vous entraîner à reconnaître les principales espèces d’Acer les plus communes chez nous :
ACERACEAE CORYLACEAE autoformatif
attention nouvel autoformatif à partir du 27 11 !
Bon courage 🙂